par Benoit Serre | 23 Juil 25 | miel
Pourquoi le miel cristallise ? Tout savoir sur ce phénomène naturel
Le miel qui cristallise inquiète souvent les consommateurs : est-il encore bon ? Est-ce qu’il a tourné ? Est-ce qu’il a été mal conservé ?
Pas du tout ! La cristallisation est un processus naturel, sain et même un excellent indicateur de qualité.
Dans cet article, nous vous expliquons tout ce qu’il faut savoir sur la cristallisation du miel, pour que vous puissiez acheter, consommer et conserver votre miel en toute sérénité.
✅ Le miel cristallise-t-il toujours ? Pourquoi ?
Oui, tous les miels naturels cristallisent, plus ou moins vite. Il ne s’agit ni d’un défaut, ni d’une détérioration. Ce phénomène résulte simplement de la présence naturelle de glucose dans le miel.
Le miel est une solution saturée en sucres, principalement en :
Fructose (40 % en moyenne)
Glucose (30 à 35 %)
Divers oligosaccharides, enzymes, acides, etc.
Le glucose a tendance à se cristalliser naturellement, à température ambiante ou en-dessous. Résultat : le miel devient plus ou moins dur, granuleux, parfois opaque.
Quels miels cristallisent le plus vite ?
La vitesse de cristallisation dépend de la floraison d’origine. En voici quelques exemples :
Miel | Vitesse de cristallisation |
---|
Miel de colza | Très rapide (en quelques jours) |
Miel de tournesol | Rapide |
Miel Primeur de Printemps du Périgord | Rapide à modérée |
Miel d’acacia | Très lente (reste liquide) |
Miel de châtaignier | Lente |
Miel de thym | Modérée à rapide |
Miel de sapin (miellat) | Très lente à nulle |
Le miel Primeur de Printemps du Périgord du Rucher du Marandou, riche en glucose, cristallise naturellement quelques semaines après récolte. C’est un gage de fraîcheur et de qualité, typique des miels non chauffés.
❓ Le miel cristallisé est-il périmé ?
Non, jamais. Le miel est un produit non périssable, à condition d’être conservé correctement.
Un miel cristallisé est toujours bon à consommer. Il conserve :
Seule la texture change.
Est-ce que le miel liquide est meilleur que le miel cristallisé ?
C’est une question de goût. Certains préfèrent le miel liquide pour :
Sucrer une tisane
Napper un yaourt
L’utiliser en cuisine
D’autres apprécient le miel cristallisé ou crémeux pour :
Chez nous, au Rucher du Marandou, nous proposons les trois textures selon les récoltes :
Miel liquide comme le miel d’acacia du Périgord
Miel onctueux comme le miel crémeux du Périgord
Miel cristallisé comme le miel Primeur de printemps du Périgord
Peut-on rendre un miel cristallisé à nouveau liquide ?
Oui, très facilement. Voici la méthode douce et recommandée :
Faites chauffer de l’eau à 40–45°C max
Placez le pot (en verre) au bain-marie
Remuez doucement si besoin
Laissez refroidir avant de refermer
⚠️ Évitez le micro-ondes, qui détruit les enzymes et les propriétés du miel.
Peut-on empêcher la cristallisation du miel ?
Pas vraiment. Mais on peut la ralentir, en :
Stockant le miel à plus de 20°C
Le gardant à l’abri de l’humidité
Préférant des variétés naturellement plus liquides (ex. : miel d’acacia)
Certains apiculteurs comme nous choisissent aussi de travailler le miel à froid pour en faire du miel crémeux : une texture fine et stable, très appréciée par les gourmets.
Découvrir notre miel crémeux du Périgord
⚠️ Méfiez-vous du « faux » miel toujours liquide
Un miel qui reste liquide toute l’année, sans jamais cristalliser, est souvent :
Un miel authentique, pur et naturel cristallisera forcément au bout d’un moment.
Chez nous, tous les miels sont :
La cristallisation : un signe de miel pur et artisanal
En résumé, la cristallisation est :
Naturelle
Variable selon la fleur
Indicateur de qualité
Réversible
Sans aucun danger
C’est un gage d’authenticité, que l’on retrouve chez les apiculteurs sérieux, comme au Rucher du Marandou.
Où acheter un bon miel du Périgord ?
Si vous cherchez un miel :
… alors découvrez nos miels locaux :
Voir tous les miels du Rucher du Marandou
Comment reconnaître la texture d’un miel sans l’ouvrir ?
L’astuce de la bulle d’air
Lorsque vous achetez un pot de miel, il est parfois difficile de savoir s’il est liquide, crémeux ou cristallisé, surtout si l’étiquette n’indique pas clairement la texture. Heureusement, il existe une astuce toute simple pour vous faire une idée : observer la bulle d’air dans le pot.
Mode d’emploi :
Retournez doucement le pot et observez comment la bulle d’air remonte vers le fond :
La bulle ne bouge pas du tout → le miel est probablement dur ou cristallisé en bloc.
La bulle remonte très lentement → le miel est épais, crémeux ou en cours de cristallisation.
La bulle remonte en douceur, sans à-coup, jusqu’au fond → le miel est fluide ou liquide.
La bulle monte puis se bloque à mi-parcours → le miel est partiellement cristallisé : il a commencé à se figer par zones.
Autre indice utile :
Regardez la surface du miel à travers le pot :
Si elle est opaque, granuleuse ou irrégulière, le miel est cristallisé.
Si elle est lisse, brillante, légèrement trouble, le miel est crémeux ou en cours de transformation.
Si elle est transparente et mobile, le miel est liquide.
Cette astuce fonctionne particulièrement bien sur les pots en verre.
Elle vous permet de choisir la texture qui vous plaît, sans ouvrir le pot !
Et le miel déphasé, est-ce pareil que la cristallisation ?
Non, pas tout à fait. Il peut arriver que votre pot de miel présente deux couches distinctes : une couche liquide sur le dessus, et une couche plus dure ou granuleuse au fond. Ce phénomène s’appelle le déphasage.
Il s’agit d’un processus naturel, lié à :
Une cristallisation incomplète ou déséquilibrée (souvent due aux variations de température ou à une homogénéisation insuffisante)
La gravité, qui agit sur les différentes phases du miel
Une différence de densité (masse volumique) entre la partie cristallisée (plus lourde) et la phase encore liquide (plus légère), ce qui provoque leur séparation
Le résultat est purement esthétique : le miel reste parfaitement comestible, avec toutes ses propriétés intactes.
Pour en savoir plus :
Pourquoi mon miel est déphasé ? Causes, prévention et solutions
❓ FAQ : Vos questions sur la cristallisation du miel
Est-ce normal que mon miel devienne dur ?
Oui, c’est un processus naturel dû à la cristallisation du glucose.
Peut-on consommer un miel durci ?
Oui, bien sûr. Il conserve toutes ses qualités.
Comment éviter que mon miel cristallise trop vite ?
Stockez-le à température ambiante stable, à l’abri de la lumière.
Pourquoi le miel en supermarché ne cristallise pas ?
Parce qu’il est souvent chauffé ou coupé avec du sirop industriel.
Est-ce que le miel crémeux est un miel trafiqué ?
Non, c’est un miel travaillé naturellement à froid pour obtenir une texture stable.
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par Benoit Serre | 22 Juil 25 | essaimage
Comment j’ai récupéré mon tout premier essaim d’abeilles dans une maison ancienne en Dordogne
On se souvient toujours de sa première fois. Pour moi, c’est à Trémolat, en 2012, dans un grenier ancien, en plein cœur du Périgord. C’est là que je réalise ma toute première récupération d’un essaim d’abeilles sauvages en Dordogne.
Je suis encore un jeune apiculteur amateur, à mes débuts, bien avant la création du Rucher du Marandou. Je ne suis pas encore professionnel. Je découvre tout juste ma passion pour les abeilles. Très peu de jours se sont écoulés depuis que j’ai ouvert une ruche pour la première fois. Elle me vient de mon grand-père, qui la tenait de son propre père.
Je passe mes soirées à lire des forums d’apiculture, à regarder des vidéos, à poser des questions. Je suis complètement accro aux abeilles. Et je le suis toujours.
Alors, quand on m’a appelé pour récupérer un essaim installé dans une maison, j’ai dit oui, sans hésiter.
Une maison ancienne du Périgord… et un essaim bien installé
Tout a commencé par un appel des propriétaires, intrigués par des allées et venues d’abeilles autour de la maison. Ils soupçonnaient la présence d’un essaim installé dans le mur, un cas assez fréquent dans le Périgord, où de nombreuses bâtisses anciennes offrent des abris parfaits aux abeilles.
En observant de plus près, ils avaient repéré un petit trou dans le mur en pierre, juste au ras du plancher. Les abeilles entraient et sortaient sans relâche. C’était donc bien un essaim installé là, depuis sans doute plusieurs années. Un enlèvement d’essaim d’abeilles était donc nécessaire, mais je voulais le faire proprement, dans le respect total de la colonie.
La scène est typique du Périgord : une vieille bâtisse en pierre, un grenier au plancher grinçant et cette atmosphère paisible des maisons anciennes. C’est souvent dans ce genre de maisons que l’on retrouve des essaims d’abeilles logés discrètement dans les combles ou sous les tuiles.
J’ai pris le temps d’analyser la situation, sans me précipiter. Avec le propriétaire, nous étions montés dans le grenier. Le parquet était ancien. En collant l’oreille au sol, j’entendis un bourdonnement sourd et constant. Le plancher vibre, comme si j’étais au-dessus d’un animal. Elles étaient entre le plafond de la salle à manger et le plancher du grenier.
Je suis encore débutant, je n’ai ni le bon matériel, ni le recul. J’ai préféré repartir, prendre le temps de réfléchir. Pas question de faire n’importe quoi.
Retour sur place, et première vraie rencontre avec un essaim sauvage
Quelques jours plus tard, je reviens avec ma combinaison, une ruche vide et une scie sauteuse. Le propriétaire me confirme qu’il va refaire le plancher, donc je peux le découper sans problème. J’ouvre doucement un premier trou à côté de l’essaim, afin de pouvoir observer et avancer progressivement. Je veux éviter à tout prix de blesser la colonie.
Les premières abeilles sortent. Elles sont agitées, mais pas agressives. Je me fais piquer. Une, deux fois. Ça brûle, ça gonfle… mais c’est aussi ça, le métier. Malgré la douleur, je ne songe pas à reculer. Je suis là pour apprendre. Et je veux aller jusqu’au bout. M’approcher de l’essaim pour l’observer et le comprendre.
J’élargis la découpe petit à petit, toujours en douceur. Je retiens mon souffle et je penche doucement la tête entre les poutres sous le plancher. Je me retrouve nez à nez avec des milliers d’abeilles entassées entre les poutres, bien organisées et actives. C’est ma première vraie observation d’un essaim sauvage structuré, installé depuis longtemps dans une charpente.
Le spectacle est impressionnant. Des dizaines de milliers d’abeilles grouillent partout. Je reste là, un long moment à les observer. Fasciné. Protégé par la combinaison, je ne suis pas inquiet. Mais je sens que ce moment va compter.
Je découvre la beauté brute d’un essaim sauvage. C’est la première fois que j’en vois un d’aussi près. L’odeur chaude de la cire, le bourdonnement constant, la chaleur qui monte du nid… C’est puissant. Je suis là, à quelques centimètres d’un monde totalement vivant.
Ses odeurs chaudes et douces, son organisation vivante, la chaleur qui s’en dégage. Je suis invité dans leur monde. Individuellement, elles semblent si fragiles… et pourtant, ensemble, elles forment une force puissante, presque intimidante.
Transfert de la colonie, étape par étape
Après cette première rencontre, j’agrandis prudemment l’ouverture, jusqu’à accéder à toute la colonie. Je récupère les rayons un par un. Je fais attention à ne pas casser le couvain. J’essaie de respecter leur ordre, leur logique.
Je cherche la reine. Elle est bien là, entourée d’abeilles ouvrières. Pas plus grosse, mais différente. Elle dégage quelque chose. Je l’observe un long moment avant de la placer dans la ruche. Peu à peu, le reste de la colonie suit.
Tout se passe bien. Une seule intervention suffit pour transférer l’essaim dans la ruche et les retirer de nuit. Le propriétaire est soulagé. Moi, je suis marqué à vie. Je rentre chez moi fatigué, mais heureux. Je sais que je veux continuer.
Depuis ce jour, chaque essaim est différent. Mais celui-là restera toujours à part.
Je me souviens surtout de ce moment suspendu où, la tête penchée dans le plancher, j’ai rencontré pour la première fois un essaim sauvage.
C’est une des expériences fondatrices de mon parcours d’apiculteur en Périgord, et sans doute l’une des plus marquantes. Depuis, je suis régulièrement sollicité pour des interventions de récupération d’essaims dans des greniers, des cheminées ou des murs en pierre.
Ce n’était pas parfait, j’ai fait des erreurs, j’ai pris quelques piqûres… mais j’ai appris. Et je crois que c’est ce que je retiens encore aujourd’hui : apprendre, toujours, et faire au mieux pour elles.
Je vous partage aujourd’hui ce souvenir avec émotion… et, oui, une larme à l’œil.
Vous êtes en Dordogne, dans le Périgord ou ailleurs en France, et un essaim d’abeilles s’est installé chez vous ?
Pas de panique : il est possible de le faire enlever en douceur, par un professionnel passionné.
Avant toute chose, prenez quelques instants pour lire ces articles utiles :
Vous cherchez un apiculteur près de chez vous pour récupérer l’essaim d’abeilles ?
Découvrez la carte interactive des apiculteurs spécialisés dans la récupération d’essaims
Cette carte regroupe des apiculteurs qui interviennent partout en France, et notamment en Dordogne, Périgord, Nouvelle-Aquitaine, et dans de nombreuses autres régions.
Tous ces apiculteurs pratiquent une récupération d’essaim respectueuse des abeilles, sans insecticide ni destruction.
par Benoit Serre | 21 Juil 25 | Frelons asiatiques
par Benoit Serre | 16 Juil 25 | miel
Miel primeur de printemps du Périgord : le premier nectar de l’année
Récolté dès les premières floraisons, le miel primeur de printemps du Périgord est un produit rare et précieux, symbole du renouveau. Léger, floral et à la cristallisation rapide, il reflète la grande diversité des fleurs sauvages de début de saison. Il est riche en nectars de pissenlit, genêt, ajonc et fruitiers, si abondants en avril dans les paysages du Périgord.
Un miel de début de saison, 100 % Périgord
Dès la fin mars ou début avril, les ruches du Rucher du Marandou s’activent avec les premières floraisons de pissenlits, prunelliers, aubépines et fruitiers sauvages. En toute petite quantité, nous récoltons alors un miel d’une finesse extrême, uniquement issu de cette première poussée florale.
Ce miel, le plus frais de l’année, est extrait à froid et conditionné immédiatement, sans aucun mélange ni traitement.
Un goût unique, entre douceur végétale et légèreté florale
Le miel primeur du Périgord séduit par :
- Sa robe très claire, presque dorée,
- Sa texture souple et légèrement fondante,
- Son goût doux, aux notes herbacées et florales subtiles,
- Sa cristallisation rapide, mais fine et agréable en bouche.
On le déguste comme un fruit nouveau : pour sa fraîcheur, et son goût des premières fleurs du printemps.
Les vertus d’un miel jeune et non transformé
Récolté très tôt dans la saison, ce miel conserve toutes ses propriétés naturelles :
- Un fort pouvoir antioxydant, grâce à la richesse florale précoce,
- Une action douce sur la gorge et les voies respiratoires,
- Une source d’énergie rapide, idéale au réveil ou à la sortie de l’hiver,
- Un apport en enzymes vivants, non altérés par la chaleur.
Particulièrement digeste, il convient très bien aux enfants et aux personnes sensibles.
Comment savourer le miel primeur du Périgord ?
Pour apprécier toutes ses subtilités, voici quelques suggestions :
- À la cuillère, le matin à jeun,
- Sur une tartine de pain toasté ou de brioche tiède,
- Dans un thé vert doux, en remplacement du sucre,
- En touche finale sur une salade de fruits frais.
Suggestion du Marandou : nappez une crêpe chaude au beurre salé d’un filet de miel primeur. Un pur bonheur !
Un miel rare, disponible uniquement au printemps
Contrairement aux autres miels, le miel primeur n’est récolté qu’une seule fois par an, en très petite quantité. Il dépend :
- Des conditions météo de mars et avril,
- De la vigueur des colonies après l’hiver,
- Du bon déroulement des premières floraisons.
C’est un produit d’exception, souvent réservé à nos clients les plus fidèles.
Où acheter le miel primeur de printemps du Périgord ?
Disponible sur notre boutique en ligne et en quantités limité:
Commander le miel primeur du Périgord
Mise en pots immédiate après récolte. Expédition rapide dans toute la France.
Questions fréquentes sur le miel primeur
❓ Quelle est la différence avec le miel de printemps classique ?
Le miel primeur est récolté plus tôt, sur les toutes premières fleurs. Il est plus clair, plus floral, plus fin en bouche.
❓ Ce miel se conserve-t-il aussi bien ?
Oui, il se conserve parfaitement. Mais sa texture évolue vite : mieux vaut le consommer dans les 6 mois.
❓ Est-ce un miel brut ?
Absolument. Aucun mélange, aucune transformation. C’est un miel pur, extrait à froid et mis en pot directement.
Le goût du printemps naissant, version Périgord
Le miel primeur du Rucher du Marandou est un concentré de fraîcheur, de terroir et de douceur naturelle. Il incarne le tout début de la saison apicole, dans un esprit 100 % local, artisanal et respectueux des abeilles. Un trésor pour les amateurs de miel authentique… et du Périgord.
par Benoit Serre | 10 Juil 25 | miel
Barbecue, pique-nique et apéro : 5 façons originales d’utiliser le miel en été
L’été est la saison parfaite pour cuisiner en plein air, partager des apéros entre amis et savourer des pique-niques sous les arbres. Et si vous ajoutiez une touche de miel du Périgord à vos repas estivaux ?
Voici 5 idées simples, gourmandes et surprenantes pour redécouvrir le miel autrement cet été, avec nos miels artisanaux produits en Dordogne.
1. Apéro express : tartines fromage & miel crémeux
Sur une tranche de pain de campagne grillée, déposez :
Une rondelle de fromage de chèvre ou de brebis
Une cuillère de miel crémeux, doux et nappant
Quelques noix concassées ou un brin de romarin frais
Un accord sucré-salé ultra rapide qui fait toujours son petit effet, surtout avec un verre de rosé du Périgord ou un vin blanc moelleux de Bergerac, Monbazillac ou Pécharmant.
✨ Astuce : variez avec du miel au thym pour une version plus aromatique.
2. Marinade miel-thym pour grillades savoureuses
Le miel au thym est un incontournable des barbecues réussis. Il parfume les viandes tout en aidant à créer une croûte légèrement caramélisée.
Recette express pour 4 personnes :
Badigeonnez vos morceaux de poulet, brochettes ou travers de porc. Laissez mariner au frais au moins 1h avant de griller.
Résultat : un parfum de garrigue et une viande fondante !
3. Vinaigrette fraîche au miel de printemps
Le miel de printemps est léger, floral, et parfait pour donner du pep’s à vos salades estivales.
Vinaigrette miel-moutarde :
1 c. à c. de miel de printemps
1 c. à c. de moutarde douce
3 c. à s. d’huile d’olive
1 c. à s. de vinaigre balsamique
Sel, poivre, herbes fraîches
Idéale pour une salade colorée à base de tomates anciennes, melon, mozzarella et roquette.
4. Pique-nique sucré-salé : fruits + miel au gingembre
Envie d’un dessert rafraîchissant et original ? Assemblez dans une boîte hermétique :
Dés de pastèque ou de melon
Morceaux de feta ou de brebis
Quelques feuilles de menthe
Un filet de miel au gingembre pour la touche tonique
À déguster bien frais pendant une pause pique-nique à l’ombre. Un combo surprenant et délicieux, à la fois léger, hydratant et plein d’énergie.
5. Noix caramélisées au miel : le snack croquant
Faites légèrement torréfier des cerneaux de noix à la poêle. Ajoutez ensuite une cuillère de miel aux noix et remuez 1 à 2 minutes jusqu’à caramélisation.
Étalez sur du papier cuisson et laissez refroidir.
À picorer à l’apéritif, à glisser dans une salade ou à accompagner d’un plateau de fromages locaux.
Le miel, un ingrédient de saison à redécouvrir
Tous les miels utilisés dans ces recettes sont produits au Rucher du Marandou, en Dordogne, avec soin et passion. Ce sont des miels bruts, non mélangés, 100 % naturels.
Nos indispensables de l’été :
Miel de printemps : doux, polyvalent
Miel d’été : corsé, parfait pour les viandes grillées
Miel au thym : puissant, idéal en cuisine
Miel au gingembre : vif, surprenant
Miel aux noix : croquant et gourmand
Miel crémeux : onctueux, facile à tartiner
Commandez vos pots en ligne sur notre boutique du Rucher du Marandou ou venez nous voir à la miellerie pour goûter et repartir avec un peu de nature du Périgord !